Bonjour j’ai besoin d’aide svp!! Je dois faire un commentaire composé sur le poème violette d’automne de Renée vivien cependant je suis bloqué sur l’introductio
Question
L’air pleure le printemps fervent…
Les arbres souffrent dans le vent,
Sans opulence et sans couronne…
Ah ! les violettes d’automne !
Tu viens, toi que je n’aime plus,
Portant les regrets superflus,
Et plus pâle qu’une madone…
Ah ! les violettes d’automne !
Je songe à nos mauvais adieux.
Nos souvenirs sont dans tes yeux
Que la fraîcheur du jour étonne…
Ah ! les violettes d’automne !
J’ai vu, sous des midis plus beaux,
Des roses jaillir des tombeaux
Où l’aube de l’espoir rayonne…
Ah ! les violettes d’automne !
Mais notre désastreux amour
N’aura ni réveil ni retour,
Ni sanglots dans sa voix atone…
Ah ! les violettes d’automne !
Toi qui fus, par les soirs d’été,
Ma Maîtresse et ma Volupté,
L’ardeur du baiser t’abandonne…
Ah ! les violettes d’automne !
1 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse :
I. Un poème comme une déclaration à Violet Shillito, la bien-aimée de son enfance.
JE
Tu, toi : ma maîtresse, ma volupté, l'ardeur du baiser, tes yeux, plus pâle qu'une madone.
Nous
Le champ lexical de l'amour : roses, baiser .../...
II. La fin d'un amour
- toi que je n'aime plus, regrets superflus, sanglots, voix atone
- un vers comme une litanie : "Ah ! Les violettes d'automne !"
- La violette est aussi la fleur préférée de la poétesse renée Vivien. Elle fut même surnommée "la muse des violettes"
- champ lexical de la souffrance : pleure, souffrent, plus pâle, tombeaux, désastreux, abandonne
VIOLETTES D’AUTOMNE
L’air pleure le printemps fervent…
Les arbres souffrent dans le vent,
Sans opulence et sans couronne…
Ah ! les violettes d’automne !
Tu viens, toi que je n’aime plus,
Portant les regrets superflus,
Et plus pâle qu’une madone…
Ah ! les violettes d’automne !
Je songe à nos mauvais adieux.
Nos souvenirs sont dans tes yeux
Que la fraîcheur du jour étonne…
Ah ! les violettes d’automne !
J’ai vu, sous des midis plus beaux,
Des roses jaillir des tombeaux
Où l’aube de l’espoir rayonne…
Ah ! les violettes d’automne !
Mais notre désastreux amour
N’aura ni réveil ni retour,
Ni sanglots dans sa voix atone…
Ah ! les violettes d’automne !
Toi qui fus, par les soirs d’été,
Ma Maîtresse et ma Volupté,
L’ardeur du baiser t’abandonne…
Ah ! les violettes d’automne !