Transformer ce texte péjoratif en texte mejoratif et rajouter 5 épithètes et 2 attribut La veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maiso
Question
La veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maison pauvre sur les
remparts de Bonifacio. La ville, bâtie sur une avancée de la montagne, suspendue même par
places au-dessus de la mer, regarde, par-dessus le détroit hérissé d'écueils, la côte plus basse
de la Sardaigne.
A ses pieds, de l'autre côté, la contournant presque entièrement, une coupure de la falaise,
qui ressemble à un gigantesque corridor, lui sert de port, amène jusqu'aux premières maisons,
après un long circuit entre deux murailles abruptes, les petits bateaux pêcheurs italiens ou
sardes, et, chaque quinzaine, le vieux vapeur poussif qui fait le service d'Ajaccio.
Sur la montagne blanche, le tas de maisons pose une tache plus blanche encore. Elles ont
l'air de nids d'oiseaux sauvages, accrochées ainsi sur ce roc, dominant ce passage terrible où
ne s'aventurent guère les navires.
Le vent, sans repos, fatigue la mer, fatigue la côte nue, rongée par lui, à peine vêtue
d’herbe ; il s'engouffre dans le détroit, dont il ravage les bords. Les traînées d'écume pâle,
accrochées aux pointes noires des innombrables rocs qui percent partout les vagues, ont l'air
de lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l'eau.
La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois
fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé.
1 Réponse
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1. Réponse hirondelle52
Bonjour,
La veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maison blanche sur les remparts de Bonifacio. La ville, bâtie sur une avancée de la montagne, suspendue même par places au-dessus de la mer, regarde, par-dessus le détroit baigné par l'océan , la côte plus basse de la Sardaigne.
A ses pieds, de l'autre côté, la contournant presque entièrement, une coupure de la falaise, qui ressemble à un couloir pour géants ( attribut) , lui sert de port, amène jusqu'aux premières maisons, après un long circuit entre deux collines verdoyantes , les petits bateaux pêcheurs italiens ou
sardes, et, chaque quinzaine, le rutilant vapeur qui fait le service d'Ajaccio.
Sur la montagne blanche, le tas de maisons pose une tache plus blanche encore. Elles ont l'air de nids d'oiseaux sauvages, accrochées ainsi sur ce flanc, dominant ce passage accueillant où s'aventurent les navires.
Le vent doux frôle la mer, frôle la côte verdoyante , découpée par la houle ; il caresse le détroit, dont il fait virevolter les herbes . Les traînées d'écume pâle, accrochées aux affleurements des innombrables petits rochers qui percent partout les vagues, ont l'air de voiles de soie ( attribut) palpitant à la surface de l'eau.
La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon magnifique et lumineux